Fleuve St-Laurent, Ile Ste-Térèse
Montréal

Localisation:
Située à l'extrémité Est de Montréal.

Marée:
Non

Points d'accès:
Par la Terrasse Bellerive à l'extrémité de la rue Raoul-Jobin. Stationnement sur la rue facile, en face de l'ile Ste-Thérèse et l'ile aux Asperges, près du bord de l'eau. (voir photo)
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Il y a une descente publique pour bateaux juste à l'est de la 36e avenue (accès pa rla rue Notre-Dame). J'y suis allé un beau samedi matin et il y avait déjà une file d'attente pour descendre les bateaux à moteur. Pour les kayakistes, il suffit de transporter son kayak sur un des deux quais qui bordent la descente. Les quais sont assez bas sur l'eau et rendent l'embarquement facile dans le kayak.

Cartes utiles:

Pourvoyeurs à proximité:
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Faune: 3/5

Espèces observées:
Canards, hérons, carouges, pluviers, etc...

Flore: 2/5

Paysages: 3/5

Niveau de difficulté: 3/5

Intérêt général: 3/5

Possibilité de camping:
Difficile
Pas de camping aménagé.

Description, commentaires:
Encore une destination à proximité de la ville de Montréal avec ses avantages et ses inconvénients. Plusieures iles accessibles sur le St-Laurent et à l'embouchure de la Rivière des Prairies et des Mille-iles. Du coté sud de l'ile Ste-Thérèse, c'est le dépaysement complet. Face à Varennes on retrouve les grands espaces et on oublit presque la proximité de la ville. Il est possible de prendre une pause à plusieurs endroits sur les iles. Les courants sont présents entre les iles et nécessitent des efforts sans représenter des obstacles majeurs. Le 19 juin 2004 les vents étaient de 20 à 30 noeuds et il y avait avertissement aux petites embarquations. Du côté sud l'ile protégeait du vent mais pour le retour dans le chenal nord de la pointe ouest de l'ile à mon point de départ, les forts vents et les vagues des nombreux bateaux à moteur m'ont fortement secoué. Avec mon Ookpik ce fut "Rock-and-roll". Avec ses 13 pieds j'ai apprécié sa très grande manoeuvrabilité et stabilité même quand on est frappé à la fois par des vagues de front et de côté. Mais pour la vitesse, oubliez ça. Mais la distance parcourue m'importe peu, ces endroits m'intéressent pour le dépaysement et la détente.
Les inconvénients de cette destination sont comme toujours les nombreux bateaux à moteur, mais si on se tient en dehors de leur chenal on peut faire avec. À certains endroits l'eau n'est pas d'une grande limpidité mais il s'agit d'une destination kayak et non baignade. Bref, assurez vous que les conditions vous conviennent avant de partir, puis profitez en, l'endroit mérite d'être découvert.
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Je suis parti de la rampe de mise à l'eau publique près de la 36e avenue. Calme plat, pas de vent. J'ai longé l'île Ste-Thérèse sur sa rive nord. Aspect sauvage et une série de petits chalets sur le haut de la rive. On arrive assez rapidement (30 minutes) à l'île aux Asperges. On peut alors naviguer dans les chenaux entre îles (îles aux Canards, à l'Aigle, à la Truie...). On peut alors pousser plus à l'est (en aval) vers les autres îles en face de Charlemagne. Ce jour-là, j'ai bifurqué vers la Rivière-des-Prairies, passé sur le pont Le Gardeur et le pont ferroviaire pour aller faire le tour de l'île Bonfoin. Il y a une petite plage sur cette île ou j'ai accosté pour prendre une petite pause. C'est une réserve naturelle, donc je crois qu'on n'est pas autorisés à aller s'y promener. Ma randonnée s'est terminée au parc du Bout-de-l'île, un petit parc municipal qui est littéralement situé au bout de l'île de Montréal. Il y a une petite plage du côté nord où on peut accoster.

Liens à consulter:

Photos:
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Informations soumises par:
Denis Thibodeau (Dernière visite à cet endroit : Juin 2004)
Alain Juteau
François


 
 

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